-
Jimmy Lai, "le plus vieux prisonnier politique de Hong Kong"
-
NBA: Curry piquant avec 48 points mais les Warriors perdent
-
L'Australie en deuil après un attentat antisémite qui a fait 15 morts sur une plage de Sydney
-
Hong Kong: l'ex-magnat prodémocratie Jimmy Lai jugé coupable dans son procès pour atteinte à la sécurité nationale
-
L'Australie et Trump saluent des "héros" face à l'attentat de Sydney
-
Un attentat antisémite par un père et son fils fait 15 morts sur une plage de Sydney
-
Budget: dernière ligne droite très incertaine pour Sébastien Lecornu, entre Sénat et Assemblée
-
Dermatose: la ministre de l'Agriculture attendue dans le Sud-Ouest, où les actions se multiplient
-
Procès Péchier: la parole à la défense
-
Accord UE-Mercosur: dernière ligne droite agitée, la France sème le trouble
-
Journée de grève au Louvre, toujours dans la tourmente
-
Le Chili choisit pour président le leader d'extrême droite José Antonio Kast
-
Un attentat "terroriste" et "antisémite" fait 15 morts sur une plage de Sydney
-
Le leader d'extrême droite José Antonio Kast élu président du Chili
-
Espagne: le Real Madrid se reprend face à Alavés, Xabi Alonso souffle
-
L1: Lens finit 2025 en tête, l'OM, l'OL et le Losc terminent bien
-
L1: Dans la souffrance, l'OM bat Monaco et s'accroche au podium
-
Dermatose: les agriculteurs du Sud-Ouest remontés, à la veille d'une visite de Genevard
-
Chili: l'extrême droite aux portes de la présidence 35 ans après Pinochet
-
Hand: les Norvégiennes reines incontestées du monde
-
Champions Cup: rebond pour Castres et Toulon, débâcles pour Pau et Bayonne
-
Champions Cup: rebond pour Castres et Toulon, débâcle pour Pau et pas Bayonne
-
Allemagne: le Bayern accroché pour la première fois à domicile par la lanterne rouge Mayence
-
Ligue 1: Lens, vainqueur de Nice (2-0), passera Noël en tête
-
Dermatose: les actions se multiplient dans le Sud-Ouest, à la veille d'une visite de Genevard
-
Mondial de hand: la saveur particulière d'un bronze qui lance une nouvelle ère
-
Biathlon: les Français titillent les Norvégiens avant de craquer
-
Le Chili aux urnes, l'extrême droite favorite de la présidentielle
-
Angleterre: Arsenal sous surveillance, jour de fête à Sunderland
-
Ligue 1: Sulc délivre Lyon face au Havre
-
Hand: les Bleues repartent en bronze du Mondial
-
Sydney : scènes de désolation sur la plage de Bondi après la fusillade meurtrière visant une fête juive
-
Etats-Unis: une personne arrêtée après les tirs qui ont fait deux morts à l'université Brown
-
L'EPR de Flamanville atteint 100% de puissance nucléaire pour la première fois
-
Ski: le Norvégien Haugan remporte le slalom de Val d'Isère, journée compliquée pour les Bleus
-
Le président ukrainien à Berlin pour des pourparlers avec Américains et Européens
-
Allemagne: les start-up de la défense réclament un virage technologique
-
Dermatose: la pression monte dans le Sud-Ouest, à la veille d'une visite de Genevard
-
Super-G de Saint-Moritz: Miradoli deuxième, sur les talons de Robinson
-
Le Chili élit son président, l'extrême droite donnée favorite
-
Une attaque contre une fête juive fait 11 morts à Sydney
-
Ski: Romane Miradoli deuxième du super-G de Saint-Moritz derrière Alice Robinson
-
Le plus ancien parti prodémocratie de Hong Kong annonce sa dissolution
-
Neuf morts dans une attaque par balles sur la plage de Bondi à Sydney
-
Dermatose: Genevard lundi dans le Sud-Ouest, où des blocages routiers persistent
-
Dermatose: des routes toujours bloquées dans le Sud-Ouest, Genevard sur place lundi
-
En Chine, les petites usines aussi veulent monter dans le train de l'automatisation
-
La flavescence dorée plonge les viticulteurs hongrois en plein désarroi
-
Sur TikTok, le business lucratif des faux comptes d'actualités
-
De Miami au Guatemala, l'exil d'enfants séparés de leurs familles par Trump
Trump lance "Vladimir, ARRÊTE!" à Poutine après un nouveau carnage à Kiev
Donald Trump a lancé jeudi un lapidaire "Vladimir, ARRÊTE!" à son homologue russe, après une nouvelle vague de frappes massives sur l'Ukraine qui ont fait au moins 12 morts et des dizaines de blessés à Kiev au moment où les laborieuses négociations entreprises par le président américain se sont crispées sur la question de la Crimée.
La salve de frappes lancée par la Russie dans la nuit - 70 missiles et 145 drones selon Kiev - a visé six régions ukrainiennes et plusieurs villes dont Kiev, où les témoins ont décrit des scènes apocalyptiques dans un quartier résidentiel, des immeubles éventrés et des corps sans vie dans les rues.
Le bilan dans la seule capitale, un des plus lourds depuis des mois, est susceptible de s'alourdir au fur et à mesure que les corps sont retirés des décombres. Il y a 90 blessés, selon un dernier bilan des services de secours.
"La Russie veut nous détruire", a lâché sur les lieux de la frappe Olena Davydiouk, une avocate de 33 ans vivant tout près du point d'impact des missiles russes. Encore sous le choc, elle dit avoir été réveillée par la frappe, racontant que "les vitres ont volé en éclats, les portes ont été arrachées de leurs gonds".
Londres a dénoncé un "bain de sang perpétré par Poutine" et de nouvelles scènes "choquantes", l'UE y a vu la preuve que le Kremlin était "le principal obstacle à la paix", et le président ukrainien Volodymyr Zelensky a immédiatement écourté sa visite en Afrique du sud.
"Vladimir, ARRÊTE!", s'est quant à lui agacé Donald Trump dans une de ses formules lapidaires sur sa plateforme Truth Social, ajoutant n'être "pas content" de cette vague de frappes au "très mauvais timing".
La vague de missiles et de drones explosifs lancés par la Russie intervient en effet à un moment critique pour le processus de négociation que Donald Trump a promis de faire aboutir pour faire cesser la guerre lancée par Moscou en février 2022, dont le bilan se chiffre au moins en dizaines de milliers de morts de part et d'autres.
Des négociations entre les Etats-Unis, l'Ukraine et ses alliés européens français et britanniques, prévues au niveau ministériel à Londres mercredi, ont été annulées à la dernière minute, après que des informations de presse ont fait état de discussions russo-américaines sur la reconnaissance de l'annexion par la Russie de la Crimée, péninsule ukrainienne dont Moscou a pris le contrôle en 2014.
- Le Kremlin "complètement" d'accord avec Trump -
"Il n'y a rien à discuter (...) C'est notre territoire", avait tranché Volodymyr Zelensky mardi.
Donald Trump s'en était alors pris violemment à lui, l'accusant de tenir des propos "incendiaires" au moment où un accord avec la Russie était selon lui "très proche". Il avait souligné que pour l'Ukraine la Crimée était "perdue", recevant jeudi un satisfecit du Kremlin qui a souligné être "complètement" d'accord avec ce constat.
Kiev a reçu le soutien inconditionnel de l'Union européenne sur ce point : l'UE ne reconnaîtra jamais la péninsule comme russe, "la Crimée c'est l'Ukraine," a martelé mercredi la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas.
Le président français Emmanuel Macron s'est associé jeudi à ce refus de reconnaître l'annexion russe de la Crimée. Il y a une "situation de fait", a-t-il dit. "Est-ce que pour autant il faut en donner quitus (à la Russie) ? Non". La question du statut de la péninsule ne se pose "en tout cas pas maintenant, et ce n'est pas à nous de le faire", a-t-il ajouté.
"L'énervement des Américains ne doit porter que sur une seule personne: le président Poutine", a-t-il encore déclaré, en marge d'une visite à Madagascar, estimant que le président russe devait arrêter de "mentir" en affirmant vouloir la paix.
- "Il y avait des enfants, c'était terrible" -
A Kiev jeudi matin, une femme au visage ensanglanté était prise en charge par les pompiers, serrant son petit chien tremblant dans ses bras. Une autre, sous le choc, se couvrait la bouche de ses mains. Sur l'herbe jonchée de décombres, des gens pleuraient un mort, déposé là par les secouristes.
Anna Balamout, 36 ans, a raconté sa course "effrayante" en pleine nuit, avec ses deux enfants, au milieu des "vagues" d'explosions, pour rejoindre un abri anti-aérien.
"Les gens couraient, couverts de sang. Ils criaient, il y avait des enfants, c'était terrible", confie-t-elle à l'AFP.
Les explosions se sont succédées dans la nuit, alors que les lumières des déflagrations de drones et des missiles éclairaient l'horizon de la capitale ukrainienne, selon des journalistes de l'AFP sur place.
Les forces armées russes "ont mené une attaque massive avec des armes de précision à longue portée" contre plusieurs entreprises liées au complexe militaro-industriel ukrainien, a affirmé le ministère russe de la Défense dans un communiqué.
E.Raimundo--PC