-
Discriminations à l'embauche: 4.000 CV tests envoyés par le gouvernement
-
Appel à la grève au Louvre: le musée n'a pas ouvert ses portes lundi matin
-
Espagne: amende de 64 millions d'euros contre Airbnb pour avoir publié des annonces de logements interdits à la location
-
L'automobiliste qui avait foncé dans la foule à Liverpool bientôt fixé sur sa peine
-
Espagne: amende de 64 millions d'euros contre Airbnb pour avoir publié des annonces de logements interdits
-
Le réalisateur Rob Reiner et son épouse retrouvés morts, "apparemment" poignardés
-
Les deux seuls pandas du Japon seront renvoyés en Chine en janvier, selon des médias
-
"La discussion est ouverte" sur la stratégie sanitaire contre la dermatose, annonce Genevard
-
Tirs à l'université américaine Brown: la personne arrêtée va être libérée
-
La mère du journaliste français Christophe Gleizes a adressé une demande de grâce au président algérien
-
Le réalisateur hollywoodien Rob Reiner et sa femme retrouvés morts à leur domicile
-
Chili: une large victoire de l'extrême droite porte José Antonio Kast à la présidence
-
Jimmy Lai, "le plus vieux prisonnier politique de Hong Kong"
-
NBA: Curry piquant avec 48 points mais les Warriors perdent
-
L'Australie en deuil après un attentat antisémite qui a fait 15 morts sur une plage de Sydney
-
Hong Kong: l'ex-magnat prodémocratie Jimmy Lai jugé coupable dans son procès pour atteinte à la sécurité nationale
-
L'Australie et Trump saluent des "héros" face à l'attentat de Sydney
-
Un attentat antisémite par un père et son fils fait 15 morts sur une plage de Sydney
-
Budget: dernière ligne droite très incertaine pour Sébastien Lecornu, entre Sénat et Assemblée
-
Dermatose: la ministre de l'Agriculture attendue dans le Sud-Ouest, où les actions se multiplient
-
Procès Péchier: la parole à la défense
-
Accord UE-Mercosur: dernière ligne droite agitée, la France sème le trouble
-
Journée de grève au Louvre, toujours dans la tourmente
-
Le Chili choisit pour président le leader d'extrême droite José Antonio Kast
-
Un attentat "terroriste" et "antisémite" fait 15 morts sur une plage de Sydney
-
Le leader d'extrême droite José Antonio Kast élu président du Chili
-
Espagne: le Real Madrid se reprend face à Alavés, Xabi Alonso souffle
-
L1: Lens finit 2025 en tête, l'OM, l'OL et le Losc terminent bien
-
L1: Dans la souffrance, l'OM bat Monaco et s'accroche au podium
-
Dermatose: les agriculteurs du Sud-Ouest remontés, à la veille d'une visite de Genevard
-
Chili: l'extrême droite aux portes de la présidence 35 ans après Pinochet
-
Hand: les Norvégiennes reines incontestées du monde
-
Champions Cup: rebond pour Castres et Toulon, débâcles pour Pau et Bayonne
-
Champions Cup: rebond pour Castres et Toulon, débâcle pour Pau et pas Bayonne
-
Allemagne: le Bayern accroché pour la première fois à domicile par la lanterne rouge Mayence
-
Ligue 1: Lens, vainqueur de Nice (2-0), passera Noël en tête
-
Dermatose: les actions se multiplient dans le Sud-Ouest, à la veille d'une visite de Genevard
-
Mondial de hand: la saveur particulière d'un bronze qui lance une nouvelle ère
-
Biathlon: les Français titillent les Norvégiens avant de craquer
-
Le Chili aux urnes, l'extrême droite favorite de la présidentielle
-
Angleterre: Arsenal sous surveillance, jour de fête à Sunderland
-
Ligue 1: Sulc délivre Lyon face au Havre
-
Hand: les Bleues repartent en bronze du Mondial
-
Sydney : scènes de désolation sur la plage de Bondi après la fusillade meurtrière visant une fête juive
-
Etats-Unis: une personne arrêtée après les tirs qui ont fait deux morts à l'université Brown
-
L'EPR de Flamanville atteint 100% de puissance nucléaire pour la première fois
-
Ski: le Norvégien Haugan remporte le slalom de Val d'Isère, journée compliquée pour les Bleus
-
Le président ukrainien à Berlin pour des pourparlers avec Américains et Européens
-
Allemagne: les start-up de la défense réclament un virage technologique
-
Dermatose: la pression monte dans le Sud-Ouest, à la veille d'une visite de Genevard
Conflit en Ukraine: Washington met la pression sur Kiev et Moscou
Le vice-président américain JD Vance a sommé mercredi Moscou et Kiev de parvenir à un accord pour trouver une issue au conflit en Ukraine, au moment où des discussions se tiennent à Londres dans un format réduit par rapport à ce qui était initialement prévu.
Les attaques aériennes russes ont repris à la suite d'une brève trêve de Pâques.
Neuf personnes ont été tuées et 32 blessées dans une attaque de drone russe contre un bus à Marganets, dans le sud-est de l'Ukraine, a annoncé mercredi le gouverneur de la région de Dnipropetrovsk. Dans la nuit, des incendies se sont déclarés dans plusieurs régions ukrainiennes à la suite d'attaques russes.
En visite en Inde, JD Vance a averti mercredi que la Russie et l'Ukraine devaient s'entendre sur un accord. Sinon les Etats-Unis "se retireront", a-t-il prévenu.
La Russie et l'Ukraine vont devoir faire des "échanges territoriaux" pour parvenir à un accord, a affirmé JD Vance. Il a évoqué la possibilité de "geler les lignes territoriales à un niveau proche de ce qu'elles sont aujourd'hui".
Le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a estimé qu'il ne s'agissait cependant pas d'un ultimatum. "Les Etats-Unis poursuivent leurs efforts de médiation, et nous nous (en) félicitons", a-t-il déclaré.
- "Pas facile" -
Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio avait déjà la semaine dernière brandi la menace de la sortie de Washington des pourparlers si les Etats-Unis venaient à établir que la paix n'était "pas possible" entre les belligérants.
Les déclarations de JD Vance interviennent alors que des discussions ont lieu à Londres entre Américains, Ukrainiens et Européens.
Elles devaient s'inscrire dans la foulée de celles qui se sont tenues à Paris la semaine dernière mais le Foreign Office a annoncé mercredi matin que les pourparlers au niveau des ministres des Affaires étrangères étaient "reportés".
"Les discussions au niveau officiel se poursuivent mais sont fermées aux médias", a-t-il ajouté.
Le déplacement de Marco Rubio n'avait jamais été officiellement annoncé, mais celui-ci ayant dit la semaine dernière à Paris qu'il irait à Londres s'il le jugeait utile, son absence laisse penser qu'il y a renoncé faute de progrès.
Côté américain, l'émissaire spécial pour l'Ukraine, le général Keith Kellogg, est présent. La France est représentée par Emmanuel Bonne, le conseiller diplomatique du président Emmanuel Macron.
Côté ukrainien, le chef de l'administration présidentielle Andriï Iermak, le chef de la diplomatie Andriï Sybiga et le ministre de la Défense Roustem Oumerov sont à Londres.
Une délégation ukrainienne doit rencontrer Keith Kellogg, a indiqué une source au sein de la présidence à Kiev.
Andriï Sybiga a indiqué sur X que lui et Roustem Oumerov s'entretiendraient avec leurs homologues britanniques David Lammy et John Healey.
"La voie vers la paix n'est pas facile mais l'Ukraine a été et reste engagée dans les efforts de paix", a déclaré Andriï Iermak.
- "Irréaliste" -
Mardi, le Kremlin a mis en garde contre toute précipitation dans les discussions visant à obtenir un cessez-le-feu après plus de trois ans d'invasion russe.
Le président américain Donald Trump, qui veut mettre un terme au plus vite à cette guerre "terrible et insensée", avait dit dimanche espérer un accord "dans la semaine" entre Moscou et Kiev, sans dévoiler les contours d'un éventuel accord.
Entretemps, l'émissaire américain Steve Witkoff prévoit un voyage cette semaine à Moscou, ont indiqué la Maison Blanche et le Kremlin, sans préciser la date.
Selon le Financial Times, le président russe Vladimir Poutine a proposé à M. Witkoff début avril d'arrêter son invasion et de geler la ligne de front actuelle si les Etats-Unis accèdent à ses revendications majeures, comme la reconnaissance de la souveraineté de la Russie sur la péninsule de Crimée, annexée en 2014, et la non-adhésion de l'Ukraine à l'Otan.
"De nombreuses fausses informations sont publiées en ce moment", a réagi le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, cité par l'agence de presse Ria Novosti.
Kiev et ses alliés européens réclament pour leur part un retour complet de l'Ukraine dans ses frontières d'avant 2014, une position que le ministre américain de la Défense Pete Hegseth avait qualifiée en février d'"irréaliste".
Par ailleurs, Pékin a dénoncé mercredi des "accusations sans fondement" après que l'Ukraine eut affirmé que des soldats chinois combattaient au sein de l'armée russe et que des entreprises chinoises aidaient Moscou à fabriquer du matériel militaire.
"La Chine s'oppose avec force à des accusations sans fondement et à de la manipulation politique", a tonné le porte-parole de la diplomatie chinoise Guo Jiakun.
X.M.Francisco--PC