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Ukraine: Washington menace de se retirer des négociations pour un cessez-le-feu
Le président américain Donald Trump a menacé vendredi de se retirer des négociations sur l'Ukraine faute de progrès rapides dans les discussions entre Kiev et Moscou, signe de la lassitude qui semble gagner Washington près de 100 jours après le retour au pouvoir du républicain.
Ces déclarations sont intervenues quelques heures après que le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a menacé de "passer à autre chose" si les États-Unis venaient à établir que la paix "n'est pas possible".
"Marco à raison de le dire, nous voulons que ça s'arrête", a confirmé Donald Trump à des journalistes qui lui demandaient dans le Bureau ovale s'il confirmait les propos de son secrétaire d'Etat.
Le milliardaire républicain - qui avait promis pendant sa campagne de mettre fin au conflit "en 24 heures" - s'efforce depuis son retour au pouvoir en janvier de faire avancer les négociations pour un cessez-le-feu, mais échoue pour l'instant à obtenir des concessions majeures du Kremlin, avec qui il a entrepris un spectaculaire rapprochement.
"Si, pour une raison ou une autre, une des deux parties rend les choses très difficiles, nous dirons simplement: +Vous êtes stupides, vous êtes des imbéciles, vous êtes des gens affreux+, et nous passerons notre tour", a-t-il affirmé.
"Mais j'espère que nous n'aurons pas à faire ça", a ajouté Donald Trump.
Washington ne veut pas que le dossier ukrainien traîne pendant "des semaines et des mois", avait plus tôt averti le secrétaire d'Etat Marco Rubio à son départ de France, après une série de réunions organisées la veille avec les Ukrainiens et les Européens à Paris.
"Les États-Unis ont d'autres priorités", avait-il aussi lancé.
- Fin du moratoire -
De son côté, le Kremlin a dit considérer comme ayant "expiré" le moratoire sur les frappes contre les sites énergétiques, annoncé en mars pour 30 jours, brouillant plus encore la direction que prend le cessez-le-feu voulu par Donald Trump, qui désire obtenir la paix entre Kiev et Moscou au plus vite.
La Maison Blanche s'était félicitée en mars d'avoir obtenu, séparément, l'accord des deux belligérants pour un arrêt des attaques sur les infrastructures énergétiques du camp adverse.
Dans les faits, un certain flou persistait déjà sur ses conditions et la date réelle de son entrée en vigueur.
De surcroît, l'Ukraine et la Russie s'accusaient presque quotidiennement de le violer, symbole de sa fragilité et de la difficulté à s'assurer de son respect.
Avant l'annonce de cette trêve limitée aux sites énergétiques, Donald Trump avait initialement proposé un cessez-le-feu inconditionnel et complet, dont le principe avait été accepté par Kiev sous la pression de Washington mais écarté par Vladimir Poutine.
Américains, Européens et Ukrainiens sont convenus de se retrouver la semaine prochaine à Londres pour une nouvelle rencontre, après celle de Paris jeudi.
En déplacement à Rome, le vice-président américain JD Vance s'est dit vendredi "optimiste" sur l'état d'avancement des négociations en cours, des déclarations qui tranchent avec ceux de Donald Trump et de Marco Rubio.
- Sanctions contre la Chine -
En parallèle de ces discussions, Américains et Ukrainiens ont signé jeudi un "mémorandum d'intention", première étape visant à conclure un accord complexe sur l'accès aux ressources naturelles et aux minerais stratégiques de l'Ukraine.
Rendu public vendredi par Kiev, le mémorandum précise que le Premier ministre ukrainien Denys Chmygal se rendra la semaine prochaine à Washington pour des négociations et assure qu'Américains et Ukrainiens cherchent à conclure leurs discussions sur cet accord d'ici au 26 avril.
Vendredi, l'Ukraine a par ailleurs imposé des sanctions à trois entreprises chinoises, sans en détailler les raisons. Ces mesures interviennent après que le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait accusé, la veille, la Chine de fournir des armes à la Russie et de l'aider à en produire.
Une accusation rejetée vendredi par Pékin qui a répondu n'avoir "jamais" livré d'armes létales à Moscou dans le cadre de la guerre en Ukraine, fustigeant des "accusations arbitraires" de M. Zelensky.
Malgré le ballet diplomatique, les attaques russes ne faiblissent pas. Une personne est morte et au moins 103 ont été blessées, dans un tir de missile sur Kharkiv vendredi, selon son maire, Igor Terekhov.
A Soumy, également dans le nord-est et où 35 personnes ont péri dimanche dans une double frappe de l'armée russe, un nouveau raid de drones a fait un mort et un blessé, a par ailleurs déploré l'administration militaire locale.
De son côté, l'armée russe a affirmé dans un communiqué vendredi que ces frappes avaient visé des sites "militaires ukrainiens".
P.Queiroz--PC