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Ukraine : Trump appelle Moscou à "se bouger", son émissaire rencontre Poutine
Donald Trump a réclamé vendredi que Moscou "se bouge" pour trouver une issue au conflit en Ukraine au moment où Vladimir Poutine rencontrait l'émissaire du président américain, Steve Witkoff.
"La Russie doit se bouger", a écrit M. Trump sur son réseau Truth Social, déplorant que "trop de gens meurent, des milliers par semaine, dans une guerre terrible et insensée", depuis plus de trois ans.
Le président américain ambitionne en effet de mettre fin aux hostilités déclenchées par le Kremlin et a rompu pour cela, en février, l'isolement diplomatique que les Occidentaux imposaient à son homologue russe.
Son administration organise des pourparlers séparés avec des hauts responsables russes et ukrainiens, qui n'ont cependant pas abouti, pour l'heure, à une cessation globale des hostilités.
Les tractations diplomatiques se prolongent, sans concessions déterminantes du gouvernement russe. Kiev et certaines capitales occidentales soupçonnent la Russie, dont l'armée est plus nombreuse et mieux équipée sur le front, de faire traîner à dessein les discussions.
- "Centaines" de combattants chinois -
Sans compter que "plusieurs centaines" de ressortissants chinois combattent "au sein des forces d'occupation russes", a assuré vendredi le président ukrainien Volodymyr Zelensky, reprochant à la Russie d'ainsi tenter de "prolonger la guerre" en "utilisant des vies chinoises", quelques jours après avoir accusé Moscou d'"entraîner" Pékin dans ce conflit.
Il s'exprimait de sa ville natale de Kryvyï Rig (centre) par lien vidéo au cours d'une réunion à Bruxelles des chefs militaires des principaux pays alliés de l'Ukraine auxquels il a demandé de lui fournir dix systèmes de défense antiaérienne Patriot -de fabrication américaine- supplémentaires.
Plus tôt dans la semaine, le chef de l'Etat ukrainien avait affirmé que la Chine savait que ses citoyens étaient recrutés par l'armée russe, des propos jugés "irresponsables" par Pékin.
Vendredi, Volodymyr Zelensky a par ailleurs exhorté les Occidentaux à "définir des détails clairs concernant la taille, la structure, le déploiement, la logistique, le soutien, l'équipement et l'armement" du contingent militaire dont il souhaite le déploiement sur le sol ukrainien en cas d'arrêt des combats pour dissuader la Russie d'attaquer de nouveau.
Moscou avait refusé cette option début mars, jugeant qu'"aucun compromis" n'était possible quant à l'envoi de troupes européennes de maintien de la paix sur le territoire ukrainien.
- Rencontre Poutine-Witkoff -
De son côté, l'émissaire du président américain, Steve Witkoff, a entamé en fin d'après-midi vendredi sa rencontre avec Vladimir Poutine. Sur son compte Telegram, la présidence russe a diffusé une vidéo montrant les deux hommes se serrant la main.
Il s'agit de leur troisième entretien depuis février.
"Poutine l'écoutera. La conversation se poursuivra sur divers aspects du règlement ukrainien. Il y a beaucoup d'aspects, la thématique est très complexe", a dit le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.
Selon M. Peskov, le Kremlin ne s'attend toutefois pas à des "percées" diplomatiques au cours de cet échange : "Un processus de normalisation des relations et la recherche d'un terrain pour se diriger vers un règlement (du conflit en Ukraine) sont en cours", a-t-il expliqué, parlant d'un "travail laborieux".
Plus tôt, vendredi, M. Witkoff a rencontré à Saint-Pétersbourg le négociateur sur les questions économiques du Kremlin, Kirill Dmitriev, qui s'était rendu début avril à Washington, pour la première visite d'un haut responsable russe aux Etats-Unis depuis le déclenchement de l'offensive de la Russie en Ukraine en février 2022.
Donald Trump veut rétablir les relations bilatérales avec la Russie, dont les Occidentaux se tiennent pour la plupart à l'écart depuis le déclenchement de l'attaque russe contre l'Ukraine, et cherche à mettre fin au plus vite à ce conflit.
- Frustration américaine -
Cette détermination fait craindre aux Ukrainiens d'être contraints par leur important allié à accepter d'âpres concessions, d'autant que le président américain envoie des signaux contradictoires.
Il a multiplié les piques à l'encontre de Volodymyr Zelensky et critiqué l'aide que son pays a apportée à Kiev. Mais Donald Trump a aussi menacé la Russie de nouvelles sanctions si elle ne consentait pas à la paix.
Signe d'une certaine frustration, il avait dit fin mars être "furieux" contre Vladimir Poutine, après que ce dernier eut évoqué l'idée d'une "administration transitoire" en Ukraine, impliquant le départ du pouvoir de Volodymyr Zelensky.
Steve Witkoff a, quant à lui, fait l'éloge du président russe. Il avait estimé dans une interview le mois dernier que celui-ci n'était pas "un mauvais type".
L'émissaire américain l'a déjà rencontré à deux reprises. En mars, il était allé en Russie pour discuter d'une proposition américaine de cessez-le-feu inconditionnel en Ukraine. Mais Vladimir Poutine n'avait pas été convaincu et cette proposition de trêve de 30 jours, acceptée par Kiev, ne s'est pas concrétisée.
Donald Trump a seulement réussi à obtenir de son homologue russe un moratoire concernant les frappes sur les infrastructures énergétiques, que Kiev comme Moscou s'accusent depuis de violer.
Washington avait aussi annoncé fin mars une trêve limitée en mer Noire, aux contours flous.
G.M.Castelo--PC