- La Californie promet d'agir si Trump coupe les subventions aux voitures électriques
- Thyssenkrupp taille dans ses effectifs, symbole de la crise de l'acier européen
- C1: Brest toujours au sommet, le PSG, City et le Real sommés de réagir
- SNCF: l'intersyndicale maintient son appel à la grève à partir du 11 décembre au soir
- Musk appelle à remplacer les avions de combat par des drones
- "Un après Mazan" : nouvelles mesures contre les violences faites aux femmes
- Afrique du Sud: la gestion délicate des babouins envahissants au Cap
- Roumanie: après la secousse présidentielle, l'extrême droite met le cap sur les législatives
- Nouveaux raids israéliens meurtriers au Liban, pressions pour un cessez-le-feu
- Soumission chimique: des kits de détection remboursés à titre expérimental, annonce Barnier
- Wall Street ouvre en hausse, soulagée par la désignation de Bessent au Trésor
- Moyen-Orient et Ukraine au menu d'une réunion du G7 en Italie
- Echecs: victoire surprise de Ding contre Gukesh en entame du championnat du monde
- "Jusqu'à mon dernier souffle": le combat d'une mère turque contre les féminicides
- La Russie et l'Ukraine échangent des frappes de drones et de missiles en pleine escalade
- Vent violent: sept départements du centre-est toujours en vigilance orange lundi
- Nouvelles frappes israéliennes au Liban, pressions internationales pour une trêve
- Pour la saison 2 de "Squid Game", parties géantes sur les Champs-Elysées dimanche avec Inoxtag
- Niveaux de chaleur nocturne "exceptionnels" dimanche, notamment dans le Sud-Ouest
- Pollution plastique: les négociations ne peuvent pas échouer, selon la cheffe de l'ONU environnement
- C1: Vinicius Jr forfait pour le déplacement du Real Madrid à Liverpool mercredi
- Sénégal: la France s'est évertuée à occulter le massacre de Thiaroye, dit un historien
- Grèce: huit morts dont 6 mineurs dans le naufrage d'une embarcation de migrants (garde-côtes)
- Plainte facilitée, soumission chimique: de nouvelles mesures contre les violences faites aux femmes
- Philippine: la vice-présidente Duterte accusée d'être le "cerveau" d'un complot pour assassiner le président
- Négociations de la dernière chance pour un traité contre la pollution plastique
- La directive CSRD, "délire bureaucratique" pour le directeur général de BNP Paribas
- Géorgie: première session du nouveau Parlement après les législatives contestées
- Séisme électoral en Roumanie: un prorusse contre une novice au second tour de la présidentielle
- La Bourse de Paris monte, les investisseurs optimistes
- Afrique du Sud: poursuite des arrestations à la sortie d'un puits de mine clandestin
- Arrêté en Algérie, Boualem Sansal "verra un procureur aujourd'hui", selon son avocat
- Un avion cargo s'écrase en Lituanie faisant au moins un mort (pompiers)
- Vente d'armes à l'Ukraine: l'ONU dénonce la "menace renouvelée" des mines antipersonnel
- Atos: négociations exclusives avec l'Etat français en vue de lui céder des activités stratégiques
- NBA: Boston domine Minnesota, Butler brille avec Miami
- A un mois du Jubilé 2025, Rome transformée en un vaste chantier
- En Israël, des volontaires du 7-Octobre pansent leurs bleus à l'âme
- Une femme tuée par un proche toutes les 10 minutes dans le monde
- A69: la justice examine une possible suspension du chantier
- Tri des déchets: les Français progressent sur le plastique, mais restent loin de l'objectif européen
- La CNTR, superviseur du titre-restaurant, redoute la suppression du dispositif
- Les ânes de Gaza au secours des habitants pour survivre à la guerre
- En Namibie, l'héritière politique Netumbo Nandi-Ndaitwah se rêve première présidente
- Elections en Namibie: danger pour le parti historique au pouvoir
- Les frères Menendez au tribunal, en pleine campagne pour leur libération
- Les Américains, de l'amour et des dollars pour Notre-Dame
- Olaf Scholz se lance dans la course à un nouveau mandat
- En Corée du Sud, l'essor de la K-pop participe aussi à la pollution plastique
- Le budget au Sénat, dernières heures apaisées pour un gouvernement en sursis
Trump se défend d'être un "nazi" après plusieurs polémiques
Donald Trump a affirmé lundi être "le contraire d'un nazi" après plusieurs jours de polémiques autour des penchants potentiellement autoritaires du candidat républicain à la Maison Blanche.
A une semaine d'un scrutin particulièrement incertain entre Kamala Harris et Donald Trump, ce dernier est sous le feu des critiques pour d'anciennes déclarations qu'il aurait tenues et après un meeting à New York marqué par des propos racistes.
"La nouvelle ligne de Kamala (Harris) est que tous ceux qui ne votent pas pour elle sont des nazis. Nous sommes des nazis", a lancé Donald Trump à ses partisans lors d'un meeting à Atlanta dans l'Etat clé de Géorgie.
"Je ne suis pas un nazi, je suis le contraire d'un nazi", a-t-il ensuite martelé.
La semaine dernière, John Kelly, son ancien chef de cabinet à la Maison Blanche, avait estimé que son ex-patron répondait à la définition d'un fasciste, une accusation reprise par la candidate démocrate Kamala Harris.
Selon John Kelly, l'ex-président aurait également dit qu'Adolf Hitler avait "fait de bonnes choses".
Dimanche, c'est son meeting au Madison Square Garden de New York qui avait créé la polémique, après les déclarations d'un humoriste partout dénoncées comme racistes. Porto Rico, territoire américain des Caraïbes, est "une île flottante d'ordures au milieu de l'océan", a lancé Tony Hinchcliffe.
"Cette plaisanterie ne reflète pas l'opinion du président" Trump, a fait savoir une de ses porte-parole.
A l'opposé, Kamala Harris a immédiatement exploité la controverse, en promettant dans une vidéo de "dessiner une voie nouvelle et heureuse" pour Porto Rico.
- "Le meilleur pour l'économie" -
La vice-présidente et son colistier Tim Walz vont se rendre cette semaine dans l'ensemble des sept Etats-clés, les plus disputés.
La candidate de 60 ans a commencé lundi par le Michigan, avec un déplacement axé sur le secteur manufacturier dans cet Etat berceau de l'industrie automobile.
"Tant de choses sont en jeu dans cette élection, et nous ne sommes pas en 2016 ou en 2020", a-t-elle déclaré à ses partisans.
"Nous pouvons tous constater que Donald Trump est encore plus instable et plus déséquilibré, et maintenant il veut un pouvoir sans contrôle, et cette fois-ci il n'y aura personne pour l'arrêter", a ajouté la vice-présidente.
Ces derniers jours, la tension est encore montée d'un cran, alimentée par la crainte que l'ancien président Donald Trump ne refuse à nouveau de reconnaître sa défaite, comme en 2020, en cas de victoire du camp adverse.
Et s'il venait à gagner il a promis un grand programme d'expulsion des migrants et de s'en prendre aux "ennemis de l'intérieur".
Mais c'est autre chose que retient Cesar Viera, 18 ans, qui habite au nord d'Atlanta et qui votera pour le républicain pour la première présidentielle de sa vie. Et cela car "il est tout simplement le meilleur pour notre économie", raconte-t-il à l'AFP.
Il a regardé le meeting au Madison Square Garden la veille et il n'y a rien vu de raciste ou de blessant: "Je suis latino et je vote Trump", ajoute-t-il, drapeau américain autour des épaules.
Donald Trump espère bien reconquérir la Géorgie, un Etat de la "ceinture de la Bible" qu'il avait perdu de quelque 11.000 voix en 2020.
À quelques encablures du meeting de l'ex-président, deux grands panneaux appellent à voter pour Kamala Harris.
Tucker Spires, un étudiant de 20 ans futur ingénieur, a déjà glissé son bulletin dans l'urne pour la démocrate. "Trump est simplement quelqu'un de méprisable", lance-t-il en sirotant une boisson énergisante.
Plus de 47 millions d'Américains ont comme lui déjà voté de manière anticipée pour ce scrutin qui s'annonce comme le plus serré de l'histoire moderne des Etats-Unis.
- "Réquisitoire final" -
Au niveau national, les sondages donnent toujours au coude-à-coude Kamala Harris, qui deviendrait la première femme noire présidente des Etats-Unis, et Donald Trump, candidat pour la troisième fois à la Maison Blanche.
Illustration des tensions ambiantes, deux urnes électorales métalliques, contenant des centaines de bulletins déposés de façon anticipée, ont été la cible d'incendies volontaires lundi en Washington et en Oregon, Etats limitrophes du nord-ouest du pays.
Kamala Harris s'est dite lundi prête à passer une évaluation cognitive, appelant son rival de 78 ans à "passer le même" examen.
Cette dernière qui a fait de la défense du droit à l'avortement l'une de ses priorités de campagne, inclura probablement ce thème dans le "réquisitoire final" qu'elle compte prononcer mardi contre Donald Trump, dans une allocution près de la Maison Blanche.
C'est là que Donald Trump avait harangué ses partisans le 6 janvier 2021, avant qu'ils n'attaquent le Capitole.
F.Cardoso--PC