- La star du cyclisme Demi Vollering rejoint l'équipe française FDJ-Suez pour deux saisons (officiel)
- Tour de France 2025: quel chemin entre Lille et Paris ?
- Foot: Manchester United limoge Ten Hag, Van Nistelrooy entraîneur intérimaire
- Le Real Madrid, convaincu que Vinicius ne sera pas Ballon d'Or, boycotte la cérémonie (club)
- Autriche : un maire tué par balles, le suspect en fuite
- Tennis: à Bercy, la der de "Richie"
- Volkswagen: le comité d'entreprise dénonce une "saignée" en préparation
- Wall Street ouvre en hausse, soutenue par la chute du pétrole
- Masters 1000 de Paris: Rinderknech au 2e tour après l'abandon de Machac
- Volkswagen prépare une "saignée" en Allemagne, selon le comité d'entreprise
- Var: les autorités travaillent à l'évacuation de 580 vacanciers bloqués après les intempéries
- La publicité pour le livre de Jordan Bardella ne sera pas diffusée dans les gares, a décidé Mediatransports
- Masters 1000 de Paris: adieu Bercy, bonjour Turin ?
- Ballon d'Or 2024: Vinicius vise un premier sacre, Bonmati un second
- Juste avant la COP29, l'ONU alerte sur la trajectoire climatique de la planète
- Israël bombarde Gaza et le Liban après une proposition égyptienne de trêve
- La Bourse de Paris profite de la baisse des prix du pétrole
- Royaume-Uni: Keir Starmer défend son futur budget en pleine polémique sur les impôts
- Moscou revendique une nouvelle avancée dans la région ukrainienne de Donetsk
- Le budget de la Sécu, nouveau crash-test à l'Assemblée
- NBA: premier succès des 76ers, grâce à 45 points de Maxey
- Les cinq grands enjeux de la campagne présidentielle américaine
- Législatives en Géorgie: l'opposition dénonce un scrutin faussé et appelle à manifester
- COP16: les chiffres clés sur l'état alarmant de la nature dans le monde
- Immigration: le durcissement prévu des régularisations met les préfets sous pression
- "NIS 2", une révolution encore floue pour la cybersécurité
- Mois sans tabac: la grossesse, moment crucial pour arrêter de fumer
- Budget: 5 milliards d'euros de nouvelles coupes, la fonction publique dans le viseur
- L'immigration, traditionnel irritant entre Paris et Rabat, mais pas de fâcherie à l'horizon
- Macron et Mohammed VI vont tourner la page des brouilles lundi à Rabat
- Ukraine : les dernières ouailles du père Igor gardent la foi malgré la destruction de leur ville
- Accusations d'agressions sexuelles: Gérard Depardieu attendu au tribunal
- "Rayée de la carte" : Vovtchansk, trop proche de la frontière russe
- Japon: le Premier ministre sous pression après la gifle des législatives
- Lituanie: le centre gauche s'impose aux législatives face aux conservateurs au pouvoir
- Présidentielle en Uruguay: second tour entre un professeur de gauche et un vétérinaire conservateur
- Maroc: Macron et Mohammed VI vont sceller leur réconciliation
- Trump remplit le Madison Square Garden mais son meeting fait polémique
- Timothée Chalamet s'invite à son propre concours de sosies
- F1: Sainz s'impose au Mexique devant Norris, Verstappen limite la casse
- Top 14: Toulouse et Capuozzo châtient Toulon avant la fenêtre internationale
- L1: Le Paris SG encore beaucoup trop fort pour 10 Marseillais
- Bolivie: l'ex-président Evo Morales dénonce une tentative d'assassinat orchestrée par l'Etat
- Nouveau test pour Lula et Bolsonaro au 2e tour des municipales brésiliennnes
- Foot: Arsenal et Liverpool se neutralisent, Manchester City en profite
- Italie: l'Inter Milan et la Juventus se neutralisent lors d'un derby fou
- Tennis de table: "Même aux JO, je jouais moins bien", savoure Félix Lebrun
- Le président égyptien propose une trêve à Gaza pour libérer des otages
- Ligue 1: Nice renverse Monaco, réduit à dix toute la deuxième période
- Tennis de table: Félix Lebrun, star à domicile
Royaume-Uni : Starmer défend son futur budget, avec des coupes et plus d'impôts
"Personne ne souhaite d'augmentations d'impôts, ni de réduction des dépenses publiques, mais nous devons être réalistes" : le Premier ministre du Royaume-Uni Keir Starmer a défendu lundi son futur budget, qui sera dévoilé mercredi, réaffirmant qu'il serait douloureux pour les Britanniques.
Ce premier budget des travaillistes, dont la popularité est au plus bas quatre mois après leur arrivée au pouvoir, est aussi attendu que redouté, dans un contexte économique difficile avec des finances publiques en mauvais état.
"C'est notre choix : la stabilité pour éviter le chaos, des emprunts pour stimuler la croissance à long terme, des augmentations d'impôts pour éviter l'austérité et reconstruire les services publics", a insisté Keir Starmer dans un discours dans les West Midlands (centre de l'Angleterre).
Mais "des jours meilleurs nous attendent", a-t-il promis. "Sérieusement, il s'agit d'un plan économique qui changera la croissance britannique à long terme."
Keir Starmer a une nouvelle fois mis en cause "l'héritage désastreux" des conservateurs, au pouvoir au Royaume-Uni pendant 14 ans, affirmant que les travaillistes sont aujourd'hui dans une "situation sans précédent".
"Je ne suis pas prêt à poursuivre la fiction que nous avons connue au cours des 14 dernières années", a-t-il lancé.
La ministre des Finances Rachel Reeves a notamment affirmé avoir hérité des Tories d'un "trou noir" de 22 milliards de livres (26 milliards d'euros) dans les caisses de l'Etat.
Le Premier ministre a cependant souligné qu'il ne "s'en servirait pas comme excuse" et s'attend à "être jugé sur (sa) capacité à faire face à cette situation" qui requiert des "décisions difficiles".
Il a répété qu'il n'augmenterait pas les taxes pour les "gens qui travaillent", un engagement phare de sa campagne, mais l'absence de critères précis pour définir cette catégorie suscite désormais des interrogations.
Sans s'étendre sur les mesures qui seront rendues publiques mercredi, M. Starmer a promis "un financement de 240 millions de livres pour les services locaux susceptibles d'aider les gens à retrouver du travail".
Il a aussi annoncé la fin du plafond de deux livres sur les billets de bus, une mesure qui n'a été financée par les conservateurs "que jusqu'à la fin de l'année 2024", assurant que le billet serait plafonné à trois livres "jusqu'à fin 2025".
Selon la presse britannique et les économistes, Mme Reeves devra trouver jusqu'à 40 milliards de livres par an à l'horizon 2030 si elle veut éviter un retour de l'austérité.
Elle devrait notamment, en plus des coupes dans les dépenses, augmenter les cotisations sociales patronales, ce qui affecterait les grandes mais aussi les petites entreprises.
Cette possibilité a soulevé de nombreuses critiques de l'opposition. Dimanche, le député conservateur Chris Philp, interrogé sur la chaîne de télévision ITV, a accusé les travaillistes d'avoir "trompé le public" pendant la campagne.
A.F.Rosado--PC