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Invasion russe en Ukraine : condamnations occidentales et turque, l'Iran sceptique, la Chine comprehensive
L'invasion de l'Ukraine déclenchée jeudi par le président russe Vladimir suscite une vague de condamnations, principalement chez les Occidentaux mais également de la Turquie et jusqu'au scepticisme de l'Iran, mais la compréhension de la Chine.
- Etats-Unis -
Le président Joe Biden a dénoncé une "attaque injustifiée" contre l'Ukraine, reprochant à la Russie d'avoir déclenché une "guerre préméditée", dont elle sera seule "responsable".
- ONU -
"Au nom de l'humanité, ramenez vos troupes en Russie !", a demandé à Vladimir Poutine le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres.
- Union européenne -
"Nous condamnons fermement l'attaque injustifiée de l'Ukraine par la Russie", ont déclaré la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et le président du Conseil européen Charles Michel, estimant que cette offensive est "non-provoquée".
Les Vingt-Sept préparent un nouveau train de sanctions, le "plus sévère jamais mis en oeuvre" contre la Russie, qui la contraindra "à un isolement sans précédent", a déclaré Josep Borrell, le chef de la diplomatie de l'UE.
- Chine -
La Chine "comprend les préoccupations raisonnables de la Russie en matière de sécurité", a réagi le ministre des Affaires étrangères, Wang Yi.
- G7 -
Pour les Sept (Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni), l'invasion de l'Ukraine est "une menace sérieuse pour l'ordre international" et place M. Poutine "du mauvais côté de l'histoire".
- Turquie -
"Nous rejetons cette opération inacceptable", qui est "un coup dur porté à la paix et à la stabilité régionale", a déclaré le président turc Recep Tayyip Erdogan, dont le pays est membre de l'Otan et riverain de la mer Noire, comme la Russie et l'Ukraine.
- Iran -
"Nous ne considérons pas la guerre comme une solution", a réagi le ministre des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, pour qui cependant "la crise ukrainienne trouve ses racines dans les provocations de l'Otan".
- Otan -
Le secrétaire général de l'Alliance atlantique, Jens Stoltenberg, a condamné "l'attaque téméraire et non provoquée de la Russie contre l'Ukraine".
Il a annoncé un sommet des dirigeants de l'Otan en visioconférence, vendredi, "pour analyser la marche à suivre" et l'activation des "plans de défense afin de pouvoir déployer la capacité de la force de réaction là où ce sera nécessaire".
- France -
Vladimir Poutine "a décidé de porter l'atteinte la plus grave à la paix, à la stabilité dans notre Europe depuis des décennies", a déclaré le président Emmanuel Macron, assurant que la France et ses alliés seraient "sans faiblesse" en décidant jeudi soir de sanctions contre la Russie "à la hauteur de l'agression dont elle se rend coupable".
- Allemagne -
L'invasion russe est "une violation éclatante" du droit international qui "remet en cause la paix" en Europe, a déclaré le chancelier allemand Olaf Scholz, dont le pays dit être prêt à "aider massivement" ses voisins, en particulier la Pologne, en cas d'afflux de réfugiés ukrainiens.
Les sanctions contre la Russie "limiteront considérablement" son accès aux marchés internationaux, a par ailleurs averti Berlin.
- Royaume-Uni -
Le Premier ministre Boris Johnson a condamné les "événements horribles en Ukraine", une "catastrophe pour le continent" européen.
Qualifiant le président russe de "dictateur", M. Johnson a promis des sanctions occidentales "massives" pour faire échouer l'"entreprise atroce et barbare de Vladimir Poutine".
L'archevêque de Cantorbéry, Justin Welby, le primat de l'Eglise anglicane, et l'archevêque d'York ont qualifié d'"acte maléfique" l'attaque "horrible et non provoquée contre l'Ukraine".
- Italie -
L'attaque russe est "injustifiée et injustifiable", a jugé le Premier ministre Mario Draghi, qui a exhorté Moscou à "retirer sans conditions ses forces militaires" entrées en Ukraine.
- Conseil de l'Europe -
Le Conseil de l'Europe, organisation intergouvernementale à laquelle adhère la Russie et qui avait pris des sanctions contre Moscou après l'annexion de la Crimée en 2014, a "fermement" condamné l'offensive russe.
Il l'a qualifiée de "violation flagrante" de son statut et a promis de "rapidement prendre les mesures" qui s'imposent, tout en appelant "les autorités russes à une cessation immédiate et inconditionnelle des hostilités".
- Japon -
L'attaque russe en Ukraine "secoue les fondations de l'ordre international", a dénoncé le Premier ministre japonais Fumio Kishida.
- Grèce -
L'invasion russe est une "violation flagrante et non provoquée du droit international" et une tentative de "révision de l'Histoire par la force armée", a jugé le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis.
- République tchèque -
Le président Milos Zeman a comparé Vladimir Poutine à un "fou [devant] être isolé" et qualifié l'invasion de l'Ukraine d'"acte d'agression non-provoqué".
- Pologne -
Pour le Premier ministre Mateusz Morawiecki, l'Ukraine "se bat au nom de toute l'Europe pour la liberté contre la "barbarie" russe.
Varsovie, qui assure la présidence tournante de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), a également condamné l'invasion russe comme un "crime contre l'humanité".
- Australie -
Le Premier ministre Scott Morrison a annoncé une "deuxième série" de sanctions contre des personnes civiles ou morales russes.
- Espagne -
Madrid "est solidaire du gouvernement et du peuple ukrainiens", a tweeté le chef du gouvernement Pedro Sanchez.
- Pays nordiques -
La Finlande et la Suède, non membres de l'Otan, ont condamné l'attaque russe, déplorant chacun "une attaque contre l'ordre de sécurité européen".
De son côté, la Norvège, membre de l'Alliance atlantique, a dénoncé une "grave violation du droit international" et annoncé le déplacement de son ambassade de Kiev à Lviv, dans l'ouest de l'Ukraine. Le Danemark a qualifié le 24 février 2022 de "tache dans l'histoire de la Russie".
- Afrique du Sud -
"Consterné" par l'offensive russe, le ministère des Affaires étrangères a exhorté Moscou "à retirer immédiatement ses forces d'Ukraine".
- Vatican -
Le Saint-Siège a déploré que "les scénarios tragiques [redoutés deviennent] la réalité", mais juge qu'il y a "encore de l'espace pour des négociations".
burx-mj/lpt
T.Vitorino--PC