- Des sociétés de journalistes français réclament l'accès à Gaza
- Un acquittement et une libération envisageable pour le suspect de l'affaire Maddie
- Septembre 2024, le 2e plus chaud jamais mesuré, accompagné de précipitations "extrêmes"
- Israël élargit son offensive terrestre contre le Hezbollah dans le sud du Liban
- Thaïlande: des milliers de personnes rendent hommage aux 23 victimes de l'incendie d'un car scolaire
- Pékin fait payer les importateurs de cognac, en plein bras de fer avec Bruxelles
- Les Bourses européennes ouvrent en baisse, déçues par l'absence d'annonces chinoises
- France: le déficit commercial se creuse en août à 6,7 milliards d'euros
- Prabowo, un président soucieux de rendre l'Indonésie plus visible
- L'anti-obésité Wegovy arrive en France, encadré et pas remboursé
- Tesla va enfin dévoiler son robotaxi, quelques années après ses concurrents
- Budget de la Sécurité sociale: les pistes pour un serrage de vis
- À Istanbul, une église fait communier chrétiens et musulmans
- Des blessés lors d'affrontements entre opposition de droite et police à Tirana
- Décès en France: en 2022, moins de Covid mais plus de maladies respiratoires
- La Chine "confiante" dans sa croissance, mais sans nouvelles mesures de relance
- A Lille, les vieilles souffleries servent toujours à tester les avions de demain
- Mexique: Sheinbaum face à l'hydre de la violence criminelle transfrontalière
- Chine: les autorités "pleinement confiantes" d'atteindre l'objectif de croissance 2024
- Le principal suspect de l'affaire Maddie libre l'an prochain ? Décision mardi
- "Cape d'invisibilité" et microscope de l'infiniment petit cités pour le Nobel de physique
- Orban au Parlement européen, feux d'artifice en vue
- Michel Barnier au défi de la censure, avant celui du budget
- "C'en est trop": la Floride se prépare à un deuxième ouragan dévastateur
- Musk se dit "à fond" pour Trump à un mois de la présidentielle américaine
- Un an après l'attaque du 7 octobre, des dirigeants redisent leur "horreur", d'autres accusent Israël
- Les grandes banques toujours accros au charbon, selon un centre de recherche
- Antisémitisme: un an après le 7 octobre, le gouvernement promet qu'il ne laissera "rien passer"
- 7-Octobre: hommages aux Etats-Unis sur fond de campagne
- Israël poursuivra le combat, jure Netanyahu pour l'anniversaire de l'attaque du Hamas
- La rénovation des copropriétés en pleine accélération en région parisienne
- 7-Octobre: Netanyahu promet aux Israéliens de continuer le combat
- Wall Street clôture en baisse, peine à trouver un élan
- "Personne n'échappe au 7-Octobre": émotion à Paris en hommage aux victimes
- 7-Octobre: Paris affiche son soutien à Israël, juge venu "le temps de la diplomatie"
- La justice de l'Etat américain de Géorgie rétablit l'interdiction de l'avortement après six semaines
- 7-Octobre/antisémitisme: "Nous ne laisserons rien passer", promet Barnier
- Renaissance: Gabriel Attal, succession sans partage ?
- A69: 15 interpellations sur la dernière "Zone à Défendre" en cours de démantèlement
- A Tel-Aviv, les familles endeuillées raniment le souvenir de leurs proches
- Au procès du RN, contorsions à la barre pour justifier les salaires
- Tunisie: le président Kais Saied réélu avec un score écrasant de 90,7%
- Top 14: vacances terminées pour Antoine Dupont, de retour à l'entraînement
- Rugby: le président de la FFR annonce un cadre plus strict pour les équipes de France
- Israël en guerre sur plusieurs fronts marque l'anniversaire de l'attaque du Hamas
- Après l'ouragan d'Hélène, frustration et désinformation sur l'aide alimentent la défiance
- Trump accuse les migrants d'importer des "mauvais gènes" aux Etats-Unis
- Air France et Transavia prolongent la suspension de leurs vols vers Tel-Aviv et Beyrouth
- A69: la dernière "Zone à Défendre" démantelée
- ZFE: le Grand Paris accorde de la souplesse aux véhicules Crit'Air 3
Brésil: le bilan des pluies à Petropolis dépasse les 200 morts
Le bilan des pluies diluviennes qui ont dévasté une grande partie de la ville brésilienne de Petropolis (sud-est) a dépassé les 200 morts, ont annoncé mercredi les autorités, tandis que les pompiers continuaient de rechercher des dizaines de disparus.
Selon le dernier bilan communiqué par la police, 204 personnes, "124 femmes et 80 hommes", ont péri dans les inondations et glissements de terrain, et 51 personnes sont toujours portées disparues.
Ce chiffre a diminué ces derniers jours, au fur et à mesure que les corps ont été identifiés ou que des familles ont retrouvé des proches sains et saufs.
Plus de 800 personnes contraintes de quitter leurs domiciles demeurent hébergées dans des structures d'accueil d'urgence, notamment des écoles municipales.
Le 15 février, il a plu en quelques heures dans la soirée davantage que la moyenne pour un mois de février, le plus grand volume de précipitations jamais enregistré depuis 1932, selon les autorités.
Les violents orages ont provoqué des glissements de terrain qui ont détruit des dizaines d'habitations construites à flanc de colline.
Ces précipitations extrêmes ont également provoqué de terribles inondations, transformant les rues de cette ville très touristique en torrents de boue et renversant des véhicules, y compris des autobus, entraînés dans des rivières.
La plupart des victimes étaient des habitants de maisons bâties dans des zones à risque, sans permis de construire, dans cette ville de 300.000 habitants située dans une région montagneuse à 60 km au nord de Rio de Janeiro.
La surface de terrains occupés par des habitations construites illégalement à Petropolis a plus que doublé de 1985 à 2020, selon des données de la plateforme scientifique Mapbiomas et de l'institut de statistiques IBGE publiées mercredi par le site d'informations G1.
Une augmentation de 108%, malgré d'autres drames similaires survenus pendant cette période, comme en 1988 quand 171 personnes avaient trouvé la mort lors de glissements de terrain.
En 2011, d'autres pluies meurtrières avaient fait plus de 900 morts dans la vaste région montagneuse qui comprend Petropolis et les villes voisines de Nova Friburgo, Itaipava et Teresopolis.
Le Morro da Oficina, colline où a eu lieu le pire glissement de terrain du 15 février, dans le quartier Alto da Serra, figure parmi les 48 zones occupées illégalement par des habitations à Petropolis, indique l'IBGE.
Selon le Centre de surveillance des catastrophes naturelles (Cemaden), environ 9,5 millions de personnes au Brésil vivent dans des zones dites "à risque", particulièrement vulnérables face aux inondations ou aux glissements de terrain.
La plupart d'entre elles résident dans des favelas, quartiers pauvres aux constructions précaires, la plus souvent sans tout-à-l'égout.
L.Henrique--PC