
-
Archives sur l'abbé Pierre au Vatican: l'Eglise de France demande des éclaircissements
-
La Bourse de Paris en petite baisse, entre résultats d'entreprises et guerre commerciale
-
Décès de Nora Aunor, légende du cinéma philippin
-
Hermès va augmenter ses prix aux Etats-Unis pour compenser les droits de douane
-
Les Bourses mondiales naviguent à vue, au gré des négociations commerciales
-
Raids israéliens sur des tentes de déplacés à Gaza, 25 morts selon les secours
-
USA-Chine: le choc des titans
-
Les Bourses européennes ouvrent sans direction claire
-
Hausse prudente des Bourses en Asie, suspendues aux négociations commerciales
-
Foot: le club chinois du Gabonais Aaron Boupendza joue seulement quelques heures après son décès
-
Crise avec Alger: Retailleau n'exclut pas qu'il faille "monter en puissance" dans la réponse
-
Luxe: Hermès va augmenter ses prix aux Etats-Unis pour compenser les 10% de droits de douane
-
Pernod Ricard: chiffre d'affaires en repli de 3% au 3T, dans un contexte "très volatil"
-
Xi Jinping au Cambodge pour resserrer les liens face à Trump
-
Barrages NBA: Miami et Dallas s'offrent une dernière chance, Chicago et Sacramento éliminés
-
Ligue Europa: cap sur Old Trafford pour l'OL, vent dans le dos et demies en vue
-
La guerre commerciale de Trump bouscule les plans de la BCE
-
Mexique: derrière les disparus, le spectre du recrutement forcé
-
Baisse des ventes, chute en Bourse, âge du PDG: contexte tendu pour l'assemblée générale de LVMH
-
Rugby: l'Australie se plaint de clubs français cherchant à "débaucher" ses jeunes talents
-
La guerre commerciale de Trump attise l'inquiétude économique mondiale
-
Gisèle Pelicot et Léon Marchand dans les "100 personnes les plus influentes" du magazine Time
-
Chez Vinci, Xavier Huillard prend du champ, une page se tourne
-
Le chef de la diplomatie américaine à Paris pour des discussions sur l'Ukraine
-
Des "indices" liés à la vie détectés sur une exoplanète
-
Instagram et WhatsApp n'auraient pas si bien réussi sans Facebook, plaide Zuckerberg au procès Meta
-
Trump cloue au pilori Harvard, accusée de propager "haine et imbécilité"
-
C1: pas de miracle pour le Real Madrid, puni et éliminé par Arsenal
-
Ligue des champions: l'Inter tremble mais brise le rêve du Bayern Munich
-
Guerre commerciale: le bras de fer continue entre Washington et Pékin
-
Wall Street termine en berne, les perspectives économiques américaines inquiètent
-
Rassemblements à Paris et Marseille en soutien aux journalistes tués à Gaza
-
L'emprisonnement au Salvador d'expulsés des Etats-Unis crée un "trou noir" juridique, dénoncent les ONG
-
Présidentielle en Côte d'Ivoire: le principal parti d'opposition vote pour Thiam candidat
-
Le zoo de Prague annonce la naissance de raririssimes canards menacés d'extinction
-
Israël transforme 30% de Gaza en zone tampon
-
La campagne canadienne accentue la rupture des électeurs avec les médias traditionnels
-
L'Iran n'est "pas loin" de disposer de la bombe atomique, dit le chef de l'AIEA
-
Guerre commerciale: les Bourses européennes terminent en légère hausse, sauf Paris
-
Israël exclut l'entrée d'aide dans Gaza devenue "fosse commune" selon MSF
-
Guerre commerciale: la directrice générale l'OMC "très préoccupée"
-
Asile: l'UE liste des pays "sûrs", Rome salue un "succès"
-
Le prince Paul de Roumanie, visé par un mandat d'arrêt, remis en liberté à Paris
-
Canada: statu quo de la banque centrale, qui juge impossible les prévisions
-
Trump cloue au piloris Harvard, qu'il qualifie de "blague"
-
Wall Street recule, plombée par Nvidia et la guerre commerciale
-
Chikungunya à La Réunion: six décès, mais une amorce de recul de l'épidémie
-
Guerre commerciale: les Bourses mondiales reculent, la tech sous pression
-
24 Heures motos: au Mans, Grégory Leblanc "court après le record absolu" de victoires
-
F1: Red Bull déjà sous pression après un début de saison compliqué

L'euro au plus bas en 20 ans face au dollar, plombé par le gaz européen
L'euro s'enfonçait lundi sous le seuil de la parité avec le dollar, à un niveau plus vu depuis l'année de sa mise en circulation, plombé par la crise énergétique qui menace de plonger l'Europe dans la récession.
Le billet vert profitant pour sa part des tours de vis successifs de la Réserve fédérale américaine (Fed), l'euro perdait 0,96% vers 15H30 GMT (17H30 à Paris) à 0,9941 dollar, un plus bas depuis 2002.
La vigueur du dollar rend les importations plus coûteuses, notamment pour les matières premières comme le pétrole dont le cours est fixé en dollars, accentuant une inflation déjà dévastatrice pour les consommateurs et les entreprises.
"L'Europe se prépare à une nouvelle fermeture du gazoduc Nord Stream 1 plus tard dans le mois", rappelle à l'AFP Craig Erlam, analyste chez Oanda.
Le géant gazier Gazprom a averti que les livraisons de gaz seraient interrompues pour "maintenance" du 31 août au 2 septembre, au risque de raviver la peur d'une pénurie en Europe, où la Russie est accusée de chantage énergétique.
Résultat, le cours du gaz européen (contrat à terme du TTF néerlandais) est reparti en flèche et a atteint lundi 295 euros le mégawattheure (MWh), s'approchant des records historiques atteints dans les premiers jours de l'invasion de l'Ukraine par la Russie.
"L'épée de Damoclès suspendue au dessus de l'Europe est partie pour rester là", prévient Kit Juckes, analyste chez Société Générale.
Et la semaine pourrait être douloureuse pour l'euro. Pour l'instant, en 2022, la devise s'était ressaisie après avoir flirté avec le seuil de la parité, mais "de mauvais indicateurs PMI mardi pourraient suffire à ancrer l'euro sous un dollar", prévient-il.
Car de l'autre côté de l'Atlantique, malgré un léger affaiblissement de l'inflation américaine en juillet, la Réserve fédérale américaine (Fed) assure qu'elle va continuer de resserrer sa politique monétaire.
- Livre affaiblie -
"Une nouvelle occasion de la Fed pour convaincre le marché sera le symposium de Jackson Hole" en fin de semaine, commente Ulrich Leuchtmann, analyste chez Commerzbank.
Lors de cette réunion des banquiers centraux, le patron de la Fed s'exprimera vendredi.
Alors que l'économie américaine est moins affectée que l'Europe par la guerre en Ukraine, la Fed a plus de marge de manœuvre pour agir que les banques centrales du Vieux Continent.
Ainsi, la livre britannique a aussi renoué avec son plus bas de 2022.
"C'est une sale année pour la livre, qui se replie même face à l'euro alors que la Banque d'Angleterre a remonté ses taux à chaque réunion" depuis fin 2021, rappellent les analystes de OFX.
Malgré ces hausses, l'inflation britannique dépasse 10% sur un an et est la plus élevée du G7, en raison de la guerre en Ukraine, des séquelles de la pandémie, mais également du Brexit qui resserre le marché du travail et perturbe encore plus les chaînes d'approvisionnement au Royaume-Uni.
A 1,1764 dollar pour une livre, la devise britannique est à son plus bas depuis début 2020 et les premiers mois de la pandémie. Avant cela, la livre britannique n'était pas repassée sous le seuil de 1,18 dollar depuis 1985.
A.Aguiar--PC