- Trump accuse les migrants d'importer des "mauvais gènes" aux Etats-Unis
- Air France et Transavia prolongent la suspension de leurs vols vers Tel-Aviv et Beyrouth
- A69: la dernière "Zone à Défendre" démantelée
- ZFE: le Grand Paris accorde de la souplesse aux véhicules Crit'Air 3
- 7-Octobre: Biden et Harris engagés auprès d'Israël, appellent à la paix
- Face à l'envolée des températures, Dubaï adopte les plages de nuit
- Le choc du 7 octobre: récit du jour le plus meurtrier de l'histoire d'Israël
- Une nation en souffrance: des Israéliens témoignent un an après le 7 octobre
- Sans toit et peu d'espoir: des habitants de Gaza un an après le 7 octobre
- Milton, ouragan de catégorie maximale, menace le Mexique et la Floride
- A Rome, cure de jouvence pour la fontaine de Trevi
- Un dessin animé avec la guerre d'Algérie en toile de fond bientôt sur France Télé
- 7-Octobre: l'enquête miroir française a identifié 65 victimes
- La tour Eiffel va s'éteindre en hommage aux victimes du 7-Octobre
- Retraites: l'intersyndicale "prête" à discuter avec le gouvernement mais redit "non" au départ à 64 ans
- Défense planétaire: Hera a décollé pour étudier l'astéroïde Dimorphos
- Pays-Bas: un musée retrouve une oeuvre d'art à la poubelle
- 7-Octobre: "La situation ne fait qu'empirer", déplore le chef de la diplomatie européenne
- Israël en guerre marque le 1er anniversaire de l'attaque du Hamas
- Royaume-Uni : Keir Starmer réorganise son équipe après des semaines de polémique
- L'Ukraine frappe un terminal pétrolier en Crimée, la Russie capture un village
- Johan Neeskens, artisan du football total néerlandais, est mort
- L'ouragan Milton se renforce en catégorie 4, menace le Mexique et la Floride
- Macron et Lam veulent renforcer la relation franco-vietnamienne
- Wall Street ouvre en baisse, les données sur l'inflation en ligne de mire
- Un an après le 7-Octobre, des dirigeants redisent leur "horreur", d'autres accusent Israël
- Equipe de France: Des Bleus en quête de leaders sans Mbappé ni Griezmann
- COP16: Alex Lucitante, une voix indigène et de "résistance" pour la nature
- Mexique: le maire d'une grande ville du sud assassiné et décapité
- Nouvelle-Calédonie: 6.000 emplois perdus depuis le début des troubles
- Le métro de Tokyo prépare son entrée en Bourse, la plus grosse au Japon depuis 2018
- Atos: le rachat des activités stratégiques par l'Etat reporté
- L'ex-impératrice du Japon, Michiko, va subir un examen médical après une chute
- Le président des Maldives en visite d'Etat en Inde pour relancer la coopération bilatérale
- Alsace: opération escargot des routiers contre un projet de taxe poids lourds
- Le budget français sera "pleinement" inscrit dans les règles européennes, assure le ministre des Finances
- WTA: Coco Gauff, titrée à Pékin, réintègre le Top 5
- Rachat des activités stratégiques d'Atos: pas d'accord avec l'Etat, prolongation des discussions
- Le gouvernement japonais admet avoir retouché des photos de tenues "négligées"
- Birmanie: un proche d'Aung San Suu Kyi et pilier de l'opposition meurt d'une leucémie
- Pakistan: deux Chinois tués lors d'une attaque revendiquée par un groupe séparatiste
- Masters 1000 de Shanghai: Fritz bat le Français Atmane, en 48 heures
- La lutte d'influence entre Amazon et libraires plus vive que jamais
- Météo: Lozère, Ardèche et Gard en vigilance orange pluie-inondation à partir de 22H00
- Malgré l'assèchement du Grand Lac Salé, l'Utah pardonne le climatoscepticisme de Trump
- Russie: verdict attendu pour un Américain de 72 ans accusé de "mercenariat"
- La médecine donne le coup d'envoi des Nobel, les traitements du cancer et des maladies cardiovasculaires en vue
- Brésil: le camp Bolsonaro prend l'avantage au 1er tour des Municipales
- Israël marque le premier anniversaire de l'attaque surprise du Hamas
- "Plein de mensonges", "incompétente", Trump et Harris renforcent leurs attaques
A un an de l'échéance, la sécurité des JO face à de nombreux défis
Cérémonie d'ouverture hors norme sur la Seine, recrutement laborieux des agents de sécurité privés, recours controversé à de nouvelles technologies de surveillance: à un an des JO-2024, la sécurisation de cet événement mondial fait face à de nombreux défis.
Une cérémonie sans précédent
Pour la première fois de l'histoire olympique, la cérémonie d'ouverture se déroulera à l'extérieur d'un stade, sur la Seine, au cœur de la capitale.
Un événement beaucoup plus difficile à sécuriser, avec une centaine de bateaux transportant des milliers d'athlètes, une foule de spectateurs dispersée sur six kilomètres le long du fleuve, et une cérémonie protocolaire à laquelle des dizaines de chefs d'Etat seront invités.
Le nombre de spectateurs maximum autorisés n'a pas encore été officialisé.
Annoncée à 600.000 au départ, la jauge a baissé au fil des mois, sur fond de discussions tendues entre la mairie de Paris, le comité d'organisation et l'Etat.
Aujourd'hui, elle serait au maximum de 500.000 spectateurs, dont 400.000 gratuits, et devrait être précisée à l'automne.
Assez d'agents de sécurité privés ?
Y aura-t-il suffisamment d'agents de sécurité privés ou faudra-t-il faire appel à l'armée ? Environ 22.000 agents sont nécessaires pour assurer le bon déroulement des compétitions.
A ce stade, seuls 25% des effectifs ont été recrutés, assure le Comité d'organisation des jeux (Cojo). Seules les petites et moyennes entreprises ont répondu à la première vague d'appels d'offre, boudée par les grandes sociétés d'un secteur en pleine crise de recrutement.
La deuxième vague d'appels d'offres doit être attribuée d'ici l'été. Et une troisième vague a d'ores et déjà été lancée. Mais, pour nombre d'observateurs, elles ne suffiront pas à mobiliser un nombre suffisant d'agents.
Jeudi dernier, la Cour des comptes a encore appelé l'Etat à "anticiper" ce déficit, demandant à ce que ce soit planifié au plus tard en octobre un recours à l'armée et aux forces de l'ordre pour le compenser.
Un recours aux militaires, policiers et gendarmes risque toutefois de se traduire par un surcoût de la sécurisation des JO, prévient la Cour des comptes.
Fin mai, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin avait estimé le coût de la sécurité publique pour les Jeux de Paris-2024 à "200 millions d'euros".
Les JO, tremplin sécuritaire ?
Expérimentation de la vidéosurveillance avec algorithmes, scanners corporels, extension des enquêtes administratives: le projet de loi olympique, adopté mi-avril, suscite des inquiétudes chez les défenseurs des libertés individuelles, qui y voient un cheval de Troie sécuritaire.
La mesure la plus controversée est l'expérimentation des caméras avec algorithmes qui doivent permettre de repérer des incidents (mouvement de foule, abandon d'un bagage...).
Ses opposants craignent la pérennisation et la généralisation de ces techniques. Le décret d'application de cette mesure n'a pas encore été publié, ces caméras ne pourront donc pas être expérimentées pour la Coupe du monde de rugby qui débute en septembre en France.
Concernant les scanners corporels, jusqu'à présent utilisés uniquement dans les aéroports, la "faisabilité de leur déploiement" en temps et en heure pour les Jeux "pose aujourd'hui question", en raison de leur coût notamment, note la Cour des comptes dans son rapport.
Ils ne seront pas utilisés pour les JO, a récemment assuré à l'AFP une source proche du comité d'organisation.
Le cyber, menace majeure
Les JO, "l'un des événements les plus attaqués au monde", devraient être la cible de milliards de cyberattaques, "huit à dix fois plus" que lors des précédents Jeux à Tokyo, selon les responsables technologiques des Olympiades parisiennes.
L'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi), qui pilote la cybersécurité des Jeux, doit réaliser à l'automne 2023 un audit du groupe informatique français Atos, qui héberge notamment les données personnelles des participants aux JO.
C.Amaral--PC